Voyage en paysages – Photographies de Hélène Moulonguet-Coutrot
Du 5 janvier au 2 mars 2026
L’exposition Voyage en paysages propose, au travers d’un récit photographique, de s’interroger sur le sentiment d’enfermement et la mise en place d’une forme de résistance mentale grâce à la lumière, le paysage et l’horizon. Chacun est invité à emprunter un itinéraire, qui débute par des pas en forêt, entre réel et imaginaire. La force qui se dégage de la présence de ces grands arbres permet de s’affranchir de ses peurs. Le songe se poursuit dans l’enceinte d’un ancien sanatorium, imposant et austère. Il est le théâtre d’une étrange conversation entre le dehors et le dedans, faisant écho au silence, à l’isolement et à la perte de repères spatiotemporels.
On y perçoit le rôle déterminant de la lumière pour préserver l’espace du sensible, et l’ambition thérapeutique à l’origine d’une telle architecture. Cette série résulte d’un long travail de recherche et de construction d’images mentales, pour rendre perceptible l’invisible. Comme s’il s’agissait de lever le voile sur le silence intérieur, les images sont construites au fil de superpositions et de jeux de transparence. Le chemin reprend, mais la perception du paysage a évolué. Il s’agit alors d’éprouver des sensations, qui ne sont plus imaginaires mais une expression du vivant.
L’exposition Voyage en paysages propose, au travers d’un récit photographique, de s’interroger sur le sentiment d’enfermement et la mise en place d’une forme de résistance mentale grâce à la lumière, le paysage et l’horizon. Chacun est invité à emprunter un itinéraire, qui débute par des pas en forêt, entre réel et imaginaire. La force qui se dégage de la présence de ces grands arbres permet de s’affranchir de ses peurs. Le songe se poursuit dans l’enceinte d’un ancien sanatorium, imposant et austère. Il est le théâtre d’une étrange conversation entre le dehors et le dedans, faisant écho au silence, à l’isolement et à la perte de repères spatiotemporels.
On y perçoit le rôle déterminant de la lumière pour préserver l’espace du sensible, et l’ambition thérapeutique à l’origine d’une telle architecture. Cette série résulte d’un long travail de recherche et de construction d’images mentales, pour rendre perceptible l’invisible. Comme s’il s’agissait de lever le voile sur le silence intérieur, les images sont construites au fil de superpositions et de jeux de transparence. Le chemin reprend, mais la perception du paysage a évolué. Il s’agit alors d’éprouver des sensations, qui ne sont plus imaginaires mais une expression du vivant.